La peinture n'est pas morte, elle revit en rétrovirtuel sous le pinceau numérique de l'énigmatique Icon Tada. Si ce dernier na pas honoré de sa présence le vernissage de cette exposition, l'ombrageux japonais a néanmoins entièrement habité l'antre de Magda Danysz, sa voracité décotarive s'étant emparé de tous les murs du rez-de-chaussée (où Magda Danysz affichait un bronzage post-Art Basel Miami très seyant).
La palette tactile de Tada explose, avec une joliesse déco parfaitement assumée, en bulles et pixels gais et colorés à l'étage et libère des volutes complexes, sur fond d'électro, au sous-sol.
Ce vernissage m'a donné l'occasion de croiser mon ami de déjà si longue date, l'artiste poly-supports et polysémique Nicolas Ledoux, qui, avec son collectif Ultralab (http://www.ultralab-paris.org) a beaucoup contribué à faire connaître Icon Tada en France.
Nicolas Ledoux, également représenté par Magda, a un talent fou. Et ce n'est pas parce que j'ai été - je crois - le premier à lui acheter une toile, il y a bien longtemps, que je le dis. :-)
Jetez un coup d'oeil ici ou là pour vous convaincre.
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